Les cinq volumes de « Hôdo, la légende » sont des
contes qui se bâtissent sur l'expérience du précédent tout en
gardant une certaine indépendances pour permettre au lecteur de
commencer par n'importe que volume. Toutes ces histoires ont un point
commun : l’intelligence, l'art de s’adapter et celui de
créer des synergies.
L’histoire débute
par le colonisation d'une planète, Hôdo. Les « pionniers
de Hôdo », volontaires plus ou
moins désignés pour être les champions de leurs groupes politique,
religieux, etc. doivent réussir à y survivre malgré leur
divergences profondes. Pour y parvenir, le capitaine du vaisseau
imagine une charte qui convienne à chaque membre de « sa »
communauté.
Des androïdes se
sont retrouvés mêlés à cette colonisation et eux aussi essaient
de vivre en « humain » avec leurs frères de chair. Eux
même se désignent comme des « homo
sapiens syntheticus ». Il est à
noter que c'est une allégorie de l'homme imaginant de Henri Laborit.
Ces androïdes qui
deviennent aux yeux des Hôdons des « anges gardiens »
découvrent un trafic de parahumains et veulent protéger ces
derniers. Mais pour y arriver, il leur faut acquérir ce qui est l'un
des privilèges de l'humain : la domination. Les « anges
déçus » ne deviendront pas pour
autant des « anges déchus ». Au contraire, il
consolideront même la Charte de Hôdo.
Fort de leur
adaptabilité, les Hôdons commence à explorer l'espace et
découvrent d'autres formes de pensées sur « Jikogu »,
une planète bien étrange dont les être vivants pourtant partagent
aussi la peur et l'espoir comme l'homo sapiens. Ainsi, d'autres
intelligences se découvrent et se réveillent.
Les années passent
quand soudain un accident cosmique va détruire, le système solaire.
« Terra se meurt ».
C'est un « ange gardiens » - ou « synth »
familièrement désigné - qui va prendre la responsabilité de
sauver les populations terriennes, car il ne sont pas sensibles à
l'attrait du pouvoir et de ses avantages, qui cette fois s’étend
sur plusieurs mondes.